10/05/2025

2025 - Sorties du mois d'avril***

 Les Activités du mois d'avril 2025

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  Mise à jour en cours.....

 

- Mardi 1er avril, direction forêt de Fosses-Reposes

Le temps est au beau, malgré le changement d'horaire les randonneurs sont au rendez-vous. Nous prenons la direction du Pavillon du Butard.

Pour rappel :
Ce pavillon est "un ancien rendez-vous de chasse construit par l'architecte Ange-Jacques Gabriel, à la demande du roi Louis XV entre 1750 et 1754".

Et 1er avril oblige, nous n'avons pas failli à la tradition :

Encore un nouveaux panneau dans la forêt :

                             Parcours :

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- Mercredi 2 avril, Exposition "au Fil de l'Or" au Musée du Quai Branly

Magnifique exposition proposée par Monique O. :  "Découvert il y a près de 7000 ans, l'or n'a eu de cesse de fasciner les hommes... L'or est utilisé dès l'Antiquité pour la réalisation de bijoux, de parures et d'armes. Dès le cinquième millénaire avant notre ère, il agrémente les premières étoffes de luxe dédiées aux hommes de pouvoir. Au cours des siècles suivants, des tisserands et artisans chevronnés-romains, byzantins, chinois, perses puis musulmans-déploient les techniques les plus ingénieuses pour réaliser de véritables tissus d'art où les fibres de soie ou de lin s'entrelacent aux lames et filés d'or.

De salle en salle, nous découvrons de magnifiques tenues de tous les continents, Maghreb, Japon, Moyen-Orient, Inde, Chine,... de toutes époques, jusqu'à nos jours avec les incroyables créations contemporaines de Guo Pei.

Nous découvrons également  l'histoire millénaire de l'or par une approche scientifique, de la pépite d'or jusqu'à trois autres matériaux "qui ont la couleur de l'or mais qui n'en sont pas : la soie de la grande nacre (un coquillage de la mer Méditerranée), celle des araignées de Madagascar (les néphiles) et enfin celle des vers à soie (des bombyx du mûrier du Cambodge)." En 1946, la découverte du Lurex un fil textile de polyester recouvert d'une couche métallique d'or, facilite l'usage du fil d'or en haute couture.

Il est difficile de décrire cette exposition, elle doit être vue et nous vous la conseillons, jusqu'au 6 juillet 2025 au Musée du Quai Branly.
Quelques photos pour vous allécher (merci aux photographes...!)....
 






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- Dimanche 6 avril, La Brocante de Chaville

Comme chaque année, VAC a tenu son stand, vente du vin de la vigne "Le Chavignon", du "Miel de Bernard" et de quelques objets...
Cette fois il faisait beau et chaud... 

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- Mardi 8 avril , direction Forêt de Meudon

Nous nous dirigeons vers la Fondation des Apprentis d'Auteuil de Meudon, via la forêt mais en prenant le parcours dans un sens inverse, désorientant ainsi nos randonneurs. 

Il fait beau, nous faisons notre pause goûter dans une sorte de clairière insolite que les scouts ont quelque peu aménagée, vers le carrefour de l'Anémomètre.

Sur le parcours, quelques exercices physiques....

La pause...

Les chiens se désaltèrent à la Fontaine Sainte-Marie
    voir => La Fontaine Sainte-Marie

 Parcours : environ 16,5km

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- Jeudi 10 avril, Sur les hauteurs de Belleville

François J. nous  fait découvrir les secrets du quartier de Belleville, en particulier le Parc de Belleville, parc créé en 1988 de 45000m sur les hauteurs de la colline de Belleville ; parc arboré, aux pelouses accueillant étudiants et collégiens par ce bel après-midi et planté de vignes rappelant le passé viticole du village de Belleville.
    voir => Parc de Belleville
 

Au sommet nous arrivons au belvédère Willis Ronis (photographe humaniste), vue panoramique sur Paris, architecture surprenante aux décors de mosaïques et d’œuvres de street-art de l'artiste Seth. Sur la petite place trône une fontaine Wallace, "les fontaines de Wallace sont un cadeau d’un philanthrope anglais à la Ville de Paris, à la fin du 19ème siècle, pour permettre aux Parisiens de s’abreuver. Œuvres d’art, elles sont conçues en fonte et se déclinent en 4 modèles différents."

 

Rue Rébéval, nous passons devant un édifice 1920 Art Déco, à la façade en briques rouges, ancien siège des jouets Meccano...! nous arrivons à l'Eglise Saint Jean-Baptiste, architecture néogothique. Nous atteignons la Place des fêtes, ce n'est pas l'heure du marché, nous admirons la fresque "Les toits de Belleville" très évocatrice du passé du quartier
    voir => Fresque Place des Fêtes
 
Maison où est née Edith Piaf

 
Dans le hall d'un immeuble, de jolies mosaïques...
Nous prenons la rue de Mouzaïa et arpentons les ruelles à gauche et à droite de la rue, avec leurs jolies villas et leurs jardinets...
    voir => Quartier de la Mouzaïa

Nous arrivons au Parc des Buttes Chaumont que nous connaissons mais que nous avons plaisir à retrouver, surtout que le temps est digne d'un jour d'été...
 
Toujours condamnée pour travaux...
Pour finir notre promenade, nous grimpons sur la Butte Bergeyre, qui surplombe Paris, avec ses jardins partagés, ses vignes et ses belles villas...
 

Nous achevons notre promenade, merci à François pour cette découverte des quartiers de Paris.

Au gré des rues, quelques affiches amusantes...

Exposition sur les grilles du Siège du Parti Communiste Place du Colonel Fabien 

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 - Dimanche 13 avril, Parc Fourchon et forêt de Meudon

Parcours de 13 km environ, avec dénivelés, en commençant par le parc Fourchon avec un petit itinéraire de reconnaissance des arbres puis nous irons en forêt de Meudon, sur les traces des rigoles et conduites qui alimentaient en eau le parc du château de Meudon au 17ème siècle.

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- Mardi 15 avril, direction Versailles

Programme de Bernard D. : "Promenade tranquille, peu de dénivelé,  des bassins et fontaines somptueux, le grand canal et dominant tout le CHATEAU.
Pas de pluie prévue, le soleil est même prévu vers 17h, ce sera parfait pour la petite bière de fin de parcours ..."

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- Mardi 22 avril, direction Monument de l'Escadrille Lafayette

Bruno P. remplace Bernard D. et nous rejoignons le Monument de l'Escadrille Lafayette via le Parc du Haras de Jardy pour la pause.

Emblème : Svastika

 Pour les nouveaux je vous renvoie aux articles précédents dont :

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 - Dimanche 27 avril, direction Barbizon et la forêt de Fontainebleau

Préparée par Véronique A., nous arrivons en covoiturage à Barbizon où nous laissons les voitures. Jolie petite ville rendue célèbre par la peinture pré-impressionnistes et son "école de Barbizon" que nous traversons pour rejoindre la forêt toute proche.

    voir =>  Découvrir Barbizon

Nous suivons la direction des gorges et plâtrières d'Apremont, se succèdent des paysages variés, plages sablonneuses, amoncellement de rochers, fougères, épicéas, genêts en fleurs en cette période, bruyères,...

"L'origine du nom d’Apremont est « âpres monts » en référence à la sécheresse des lieux. Au début du XVIIIe siècle, on y trouve de grands espaces vides, beaucoup de monts et de rochers, de vallons et de déserts, remplis de bruyères, genêts, genièvres, épines et autre mauvaise nature de bois.
À partir de 1830, sous la direction du conservateur des Eaux et Forêts de l’époque, plus de 5600 hectares de pins sylvestres furent plantés en forêt de Fontainebleau. Les Gorges d’Apremont comme celles de Franchard, cessèrent d’être des déserts. Ces plantations rencontrèrent l’hostilité des écrivains et des artistes peintres de Barbizon qui selon eux : « déshonorent le sol gaulois » ! Pour lutter contre l’introduction massive de pins laricios de Corse, les « Bizons » arrachèrent les jeunes pousses et l’on ne devait point rentrer à l’auberge du Père Ganne sans apporter quelques dizaines de têtes de pins sacrifiés.
Sur les platières, chemin de Denecourt, voir la mare aux biches
Les grès qu’on trouve ici ont été utilisés pour la construction du château de Fontainebleau puis plus tard ils ont été utilisés pour fabriquer les pavés des rues de Paris. 
C’est à la sortie d’une de ces carrières en 1897 qu’est mort Ernest Pépin, carrier de profession, en tombant du chariot utilisé pour transporter les pierres. C’est son collègue qui travaillait avec lui qui propose de faire une stèle où on marquera son nom pour marquer le souvenir de ce tragique accident."

Un dépaysement total, quelques belles montées, ...

 





Nous prenons ensuite la direction de l'Ermitage de Franchard et des gorges du même nom, après avoir longé une réserve biologique intégrale.
"Une réserve biologique est créée pour une durée illimitée.... La gestion d'une réserve biologique est particulièrement orientée vers la sauvegarde des milieux, de la faune, de la flore ou de toute autre ressource naturelle.... Dans les réserves biologique intégrales ou RBI : les exploitations forestières et les travaux y sont exclues"

Ermitage Franchard : 

"Dès le XIIe siècle et peut-être auparavant, le site sauvage de Franchard attira les pieux solitaires. Ce fut d’abord une simple chapelle dédiée à Saint Alexis, puis à la vierge sous le nom de Notre-Dame de Franchard. La solitude de l’endroit le rendait dangereux, un premier ermite fut assassiné, un second subit le même sort. Le troisième ermite fut le frère Guillaume, chanoine de Saint Euverte d’Orléans.... s’installa à Franchard malgré les mises en garde de son ami Étienne, alors abbé de Sainte Geneviève de Paris.... Il fit venir d’autres moines et bientôt l’ermitage s’agrandit et devint un monastère. En 1197, Philippe-Auguste rendit la concession perpétuelle.... La guerre de Cent Ans mit fin à cette tranquillité et le monastère fut entièrement détruit. La légende raconte que les moines enfouirent leur trésor dans la forêt au moment où les Anglais pillaient la région....   
En 1676, le roi remit l’ermitage aux Trinitaires de Fontainebleau, ceux-ci firent rétablir la chapelle et vinrent célébrer la Pentecôte ce qui attira la population en pèlerinage.... Après plusieurs assassinats, l’endroit fut définitivement abandonné et par un arrêt du Conseil de la Régence daté du 17 février 1717, les bâtiments furent démolis. Dès le règne personnel de Louis XV, on reconstruisit, un logement de garde forestier.... De l’ancien ermitage, il ne reste aujourd’hui que quelques contreforts et un pan de mur d’une grande épaisseur qui fut inscrit à l’Inventaire des monuments historiques par un arrêté́ du 15 février 1926."

Nous choisissons non loin de pique-niquer sur des rochers nous offrant l'hospitalité, le lieu aujourd'hui  accueillant et même touristique...


 
Les commentaires de notre guide...


Nous visitons ensuite les ruines de l'ermitage et la statue de la vierge, le pylône de Franchard, l’œil des Nations, le puits et la fontaine des ermites...

 

Nous grimpons ensuite vers le point de vue du Camp d'Arbonne

"En 1839, la plaine de Chanfroy, à proximité d’Arbonne La Forêt, devient un site militaire sous Louis-Philippe Ier. En 1839, un camp de onze mille hommes manœuvre sous le commandement du duc de Nemours.Louis-Philippe, en mal de reconnaissance, fait aménager une route, au-dessus de ce camp militaire de la plaine d'Arbonne. Le but : montrer de grandes manœuvres aux curieux, tirs au canon y compris. 
Claude-François Denecourt (1788_1875), un passionné de la forêt, ex-vétéran de l'armée napoléonienne et concierge dans une caserne de Fontainebleau, profite de l'occasion et publie alors le premier guide touristique de la forêt. Dès 1842, il trace les tous premiers sentiers pédestres balisés au monde, appelés "sentiers bleus"... Le tourisme de nature naît et se développe en France à partir de Fontainebleau. L’ONF entend conserver ce patrimoine culturel remarquable qui perdure grâce à l’association des Amis de la forêt de Fontainebleau."
 

Par des chemins aux paysages toujours aussi changeant nous atteignons les fameuses Grottes des Barbizonnières, "Appelée ainsi parce que les femmes de Barbizon s'y réfugièrent en 1814, lors de l'invasion prussienne."

 Naviguant au milieu des rochers nous pouvons imaginer des personnages, des animaux, en particulier le dénommé "Rocher de l'Eléphant".

Nous atteignons notre lieu de départ sans oublier de nous arrêtés auparavant devant le Monument Millet-Rousseau, "plaque commémorative des 2 peintres qui ont fait la renommée Barbizon."

Nous sommes à nouveau dans la grande rue de Barbizon où presque chaque maison rappelle un peintre ou un écrivain, Auberge du Bas-Bréau où séjourna Stevenson, Maison atelier Jean-François Millet, Maison Théodore Rousseau, Aubrege Ganne accueillant les artistes,... Des mosaïques représentant des œuvres des peintres ornent les murs des rues.

Magnifique randonnée, un temps idéal, merci Véronique...

Et bien sûr avant de repartir, la bière pour se redynamiser.... sans abus ....

 Mise à jour en cours....

 

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09/04/2025

2025 - Sorties de mars**

 

 Les activités de mars 2025

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  Mise à jour en cours.....


- Lundi 31 mars et mercredi 30 avril, visite des Caves du Roi 

Surprenante visite proposée par Danièle B. Si proche et si méconnue des habitants de Chaville, même si un street-art évoquait ce passé dans les sentes de Sèvres.

Carrières souterraines creusées au 16ème siècle, elles sont utilisées au 18ème pour stocker les vins du roi de France. Peu à peu d'autres galeries sont ouvertes et des bâtiments sont construits. AU 19ème siècle, un brasseur de Metz s'y installe. "Il fait installer cuves et chaudières, machine à vapeur, fourneaux et cheminées. Il assure également l’aération des locaux et leur approvisionnement suffisant en eau (notamment grâce à celle provenant des étangs de Ville-d’Avray)."

Les brasseries de la Meuse rachètent en 1890 et agrandissent à nouveau les installations, se dotent même d'une malterie et tentent la fabrication de jus de fruits (Vivor). La production cesse en 1950 et peu à peu les activités s'arrêtent. "Les bâtiments sont finalement vendus puis détruits entre 1970 et 1988."

L'entrée est inattendue puisque à l'intérieur d'un immeuble moderne de la rue des Caves du Roi. Notre guide de la Société d'Archéologie et d'Histoire de Sèvres nous fait pénétrer dans cet immense paquebot souterrain, véritable labyrinthe sur 3 étages de galeries de plusieurs kilomètres... Par moments les voûtes et la hauteur des galeries nous font penser être dans une cathédrale.

 

- Mardi 25 mars, direction Forêt de Meudon

C'est la sortie qu'il ne faut pas louper... repas au restaurant "La Chalosse", c'est mieux qu'un pique-nique...!!!  38 marcheurs sont au rendez-vous au terminus du bus 171.

Le temps est frais et nuageux, nous suivons notre guide Bernard à travers chemin pour rejoindre Saint-Cyr, le groupe s'étale, bavardages obligent...!!!
Nous rejoignons les Etangs de la Minière, l'Etang du Moulin à Renard, puis celui du Val d'Or.
     voir => Les Etangs de la Minière

 

Nous aurions bien prolongé cette promenade en bord d'étang mais le restaurant n'attend pas...et certains VACiens nous y attendent, nous avons tous hâte de déguster les spécialités du sud-ouest promises...

Promesses tenues, les plats ont eu du succès et ravis nos papilles, l'ambiance était chaude et  très animée...

Mais il faut repartir, 31 sur 38 marcheurs du matin reprennent le chemin vers Chaville... 1ère étape, l'Etang de la Geneste que nous longeons pour rendre visite au Chêne de Louis XIV que nous nous empressons d'entourer de nos bras...

Nous marchons bon train, malgré les salades sarladaises et les cuisses de canard .... 
Nous atteignons l'aqueduc de Buc, pour rappel 
et grimpons même un bon dénivelé au niveau des Loges-en-Josas. Le long de cette côte nous pouvons remarquer de chaque côté, 2 bornes ornées d'une couronne royale.
"Ces bornes ont été implantées pour délimiter les parcelles occupées par le réseau hydraulique, dit des “étangs inférieurs”, mises en place entre 1681 et 1687 sous Louis XIV. Ce réseau alimentait les fontaines et jets d’eau des jardins du château de Versailles via l’aqueduc de Buc."
 
Commémoration du tricentenaire juin 1686 -1986

Bornes royales

Pour les jusqu'au-boutistes, nous avons parcouru 25km ...!

Belle journée réussie pour tous, merci Bernard et son équipe...

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- Jeudi 20 mars, direction Découverte du Marais

François J. nous propose une balade dans le beau quartier du Marais à la découverte de lieux historiques et parfois inattendus.

François nous dresse un bref historique du quartier :
"Ancien quartier marécageux assaini par des congrégations religieuses. Au cours des 19ème et 20ème siècles, les hôtels particuliers deviennent des ateliers de confection et d’orfèvrerie.
C’est l’un des plus anciens quartiers de la rive droite dans les 3ème et 4ème arrondissements de Paris. Le quartier juif s’étend autour de la rue des Rosiers. Vers les années 1980/1990, s’installent de établissements gays."
 
Partant du Châtelet,  nous nous dirigeons vers la Tour Saint-Jacques :
"Emblème de Paris. Couronnée par les symboles des 4 évangélistes (Marc, Matthieu, Jean et Luc) : l’aigle, le lion, le boeuf et l’ange. Surmontés par la statue de St Jacques (église St Jacques de la Boucherie du début du 16ème siècle et détruite partiellement en 1797). Ancienne fonderie de plombs de chasse en 1824 !"
    voir =>  La Tour Saint-Jacques
Entrée de métro Guimard
Nous continuons vers l'Hôtel de Ville :
"Reconstruit en 1553 sous François 1er, façade Renaissance de 143m, hauteur 19m, surface de 55.000m2 ."
La place nous est fermée, des travaux de végétalisation sont en cours :
 
Nous empruntons le rue du Renard pour arriver au Centre Georges Pompidou, qui ferme pour travaux :
"Ouvert sous l’égide du Président Pompidou, grand amateur d’art, en 1977. Architecture unique ! Environ 1.000 employés, environ 10.500 visiteurs par jour ! Conserve les 2 plus grandes collections d’art moderne au monde. 110.000 œuvres de 6.000 artistes. Expositions temporaires. 1ère bibliothèque d’Europe."
 
Nous admirons en passant la place Igor Stravinsky récemment rénovée et ses fontaines étonnantes :
     voir => Place Igor Stravinsky
Rue Rambuteau, rue du Temple, rue des Archives,... nous passons successivement devant d'anciens Hôtels particuliers aujourd'hui Musées, Musée d'art et d'histoire du Judaïsme ( Hôtel de Saint-Aignan), Hôtel Soubise et Archives Nationales, Hôtel de Guénégaud et de Mongelas (Musée de la Chasse et de la Nature) , Hôtel d’Olivier de Clisson (2 belles tourelles).
 
Hôtel de clisson
 
HHôtel de Soubise
 
 
     En passant rue des Archives
Cloître des Billettes
 
     voir => Cloître des Billettes
 
 
 Un petit intermède devant la vitrine de la boutique typique Mariages Frères, rue du Bourg-Tibourg. Nous reprenons notre chemin et passons devant la façade avec arc entourant un bas-relief, l'Hôtel des Ambassadeurs (17ème siècle. Classé Monument Historique en 1924), anciennement Hôtel Amelot de Bisseuil (la famille Amelot était l’une des plus riches de la noblesse de Paris) ; vendu à un mécène puis récemment à un investisseur souhaitant créer un hôtel d'exception !!! 
Entrée Hôtel des Ambassadeurs
Nous arrivons rue des Rosiers, quartier juif historique du Maris (spécialités casher, falafels,...), son nom vient des rosiers qui y poussaient le long des remparts de Philippe Auguste (12ème siècle). Les commerces de spécialités  juives disparaissent peu à peu au profit de boutiques de mode et de luxe.... la rue perdant ainsi de son caractère..       et => La rue des Rosiers

Nous entrons dans le Jardin des Rosiers - Joseph Migneret, havre de paix dans ce quartier si animé
 
Nous passons devant l'Hôtel de Lamoignon (Bibliothèque historique de la Ville de Paris), le Musée Carnavalet (musée de la Ville de Paris de l'origine à nos jours) et nous arrivons à la magnifique Place des Vosges
A l'un des angles de la place, nous pénétrons directement dans l'Hôtel de Sully, centre des Monuments Nationaux, Sully acquiert cette maison aristocratique en 1634, bel exemple de l’hôtel parisien du 17èmesiècle ; sur les 4 façades, les sculptures dans les fausses niches représentent les allégories des 4 éléments : Terre, Eau, Air et Feu.
Nous nous dirigeons ensuite vers le Musée Picasso, dans l’Hôtel Salé (construit en 1656 par un fermier enrichi par l’impôt sur le sel), acquit par la Ville de paris en 1962.

Nous rejoignons le rue Vielle du Temple puis la rue de Bretagne pour entrer dans le Marché des Enfants Rouges, si typique, l'un des plus vieux marchés de Paris ; en 1615, le quartier est en plein développement, la demande en approvisionnement explose et rend nécessaire la création d’un marché ; Louis XIII délivre un « acte de naissance » au « marché des Enfants Rouges », orphelins habillés de rouge qui logeaient à proximité et finirent par donner leur nom au marché.

Nous enchainons ensuite le joli  jardin du Temple de la Mairie du 3ème arrondissement, le Carreau du Temple, au Moyen Age, le « carreau » désignait un marché de plein air où les marchands déballaient leur friperie ; structure en fer, fonte et verre, construite par le Baron Haussmann en 1863 ; aujourd’hui, salons pour spectacles et évènementiel.

 
Notre balade se termine devant le Musée des Arts et Métiers, que certains d'entre nous ont visité récemment, au mois de décembre dernier.
Un grand merci à François qui nous a fait découvrir ou redécouvrir le Paris historique...
 
Si vous souhaitez faire ou refaire la visite, vous avez aussi 2 autres parcours que nous avions fait avec Alain S.
 
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- Mercredi 19 mars, visite du Musée de la Préfecture de Police (1er groupe 5 février)

Une visite singulière mais très intéressante grâce à notre guide qui a su nous faire vivre l'histoire de la Police parisienne du 17ème siècle à nos jours.

"Le musée de la préfecture de Police a été créé en 1909 par Louis Lépine à partir des pièces réunies pour l’Exposition universelle de 1900. Le musée de la préfecture de Police a été créé en 1909 par Louis Lépine à partir des pièces réunies pour l’Exposition universelle de 1900." 

Louis XIV crée la Lieutenance Générale de Police pour diriger et organiser la Police à Paris. Après la révolution, Napoléon Bonaparte crée la Préfecture de police de Paris.

En déambulant dans le musée dit "musée du crime", notre guide nous évoque les grands affaires et la Police depuis son origine, comme l'affaire des Poisons, le collier de la Reine, l'affaire du courrier de Lyon, le procès Landru, les attentats anarchistes (tentatived' assassinat de Louis-Philippe), l'affaire de la bande à Bonnot, l'affaire Petiot,....

Les objets présentés dans les différentes vitrines illustrent les moyens utilisés par les criminels au fil du temps, ainsi que les moyens dont se dotent peu à peu la Préfecture de Police, moyens qui suivent l'évolution scientifique et technologique facilitant le travail des enquêteurs.

 
 Merci à Monique O. pour cette visite surprenante que nous conseillons fortement.
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- Mardi 18 mars, direction Parc de Saint-Cloud

Le temps enfin est printanier, la nature s'éveille et nous donnent de l'énergie pour notre marche. Nous parcourons le Parc et fidèles à nos habitudes, nous nous posons au Jardin du Trocadéro...


 Le temps est clair, cela nous change du brouillard et de la pluie....

Le printemps est là ou presque...
La pause pour tous....
   

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 - Dimanche 16 mars, direction lacs et étangs de du Vésinet

 

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- Jeudi 13 mars, direction Iles de la Seine, Ile Seguin et Ile Saint-Germain.

Sortie à la journée organisée par Bruno P. avec pique-nique dans le Parc départemental très accueillant de l'Ile Saint-Germain. Partis du Chêne de la Vierge a Chaville, nous descendons vers la Seine pour parcourir les Iles et longer la Seine.

Pour ceux qui veulent plus de détails

    voir => Article du blog du 26/10/2021

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- Mercredi 12 mars, visite des Ateliers des Gobelins (1er groupe)

 

- Mardi 11 mars, direction Versailles

 

- Dimanche 9 mars, direction Vallon de Vaucresson

     voir => Vaucresson histoire de la ville

 

 

- Mardi 4 mars, direction Forêt de Meudon

Bernard reprend le créneau des mardi .... le soleil est au rendez-vous... cela change mais les chemins sont-ils moins boueux..!!!

 

- Dimanche 2 mars, direction Rambouillet

Programme de notre guide Laurent : "Boucle en forêt autour de Rambouillet passant par le parc du château et par de nombreux plans d'eau : plans d'eau du Château, Etang de Coupe-Gorge, Etang du Gruyer, Etang de la Grenouillère, Etang de la Tour, Etang d'Or."

Départ de Chaville à 8h30 pour une arrivée à Rambouillet à 9h30 environ. 

Nous commençons par le Parc du Château de Rambouillet, nous bénéficions d'un dimanche ensoleillé mais froid et nous allons le découvrir de parcours plus que boueux en forêt. l

Beaucoup d'entre nous avaient oublié l'originalité de ce parc avec ses nombreuses îles, ses réseaux de canaux ainsi que son jardin anglais créé par le Duc de Penthièvre. Nous passons devant la Chaumière aux coquillages, hélas fermée puis devant la laiterie de la Reine, aménagée pour Marie-Antoinette.

 Nous quittons le château pour entrer dans la forêt et commencer le sérieux de notre parcours, sérieux pour la randonnée, quelques beaux dénivelés, des chemins quasi impraticables mais des étangs et des paysages forestiers divers.

Successivement 

    voir=> Histoire des étangs de Hollande